Devinez le surnom des joueurs en question :
L’Hélicoptère:
Joueur chilien, j’ai fait les beaux jours du Real Madrid et de l’Inter Milan. Avec mon compère Salas, je formais un redoutable duo, du niveau de David et Jonathan sur le plan musical. Je dois mon surnom à mon jeu de tête qui ferait passer Tony Cascarino pour une brêle. Egalement appelé "Bam Bam", mon "front en or" m’a permis d’inscrire la bagatelle de 125 buts dans les championnats chilien, espganol et italien.
La Tondeuse:
Joueur pour qui "le foot, c’est la guerre", j’aime les tacles au niveau des jambes, les semelles et accessoirement le ballon. Tête de turc des hommes en noirs, je collectionne voracementles biscottes, de préférence de couleur rouge. Ma coupe de légionnaire n’incite pas à échanger les maillots à la fin du match.
El Magnifico:
Varois d’orgine, je peux me targuer d’avoir écrit les plus belles pages du PSG avec mes potes Roche, Valdo, Le Guen et consors. Avec mon physique de playboy (la pub pour le shampoing, c’est moi), je saisaussi assurer lors de 3ème mi-temps fiévreuses et endiablées. Artiste du ballon rond, plongeur à mes heures (Fiorèse a essayé de me copier, sans réussite), je dois mon surnom à mes matchs mémorables contre le Real Madrid et à ma classe, tout simplement. Ma carrière internationale s’est terminée en eau de boudin un soir de novembre 93 par un "exo 7" de triste mémoire.
L’Animal:
Joueur brésilien, je suis aussi doué footballistiquement que barré intellectuellement (d’où mon délicieux sobriquet).Fantasque, mon talent n’a pas été reconnu à sa juste valeur. Je suiscélèbre en Europe pour mon passage mouvementé à la Fiorentina mais c’est au Brésil, à Vasco de Gama notamment, que j’ai réellement crevé l’écran. Barré par Ronaldo en Selecao, je cire le banc lors de la Coupe du Monde 98 en France. Mais tel le phoenix, je renais de mes cendres et malgré mes 38 printemps, je promène encorema bedaine sur tous les terrains du Brésil.
Le Snake:
International français, champion du monde et d’europe, j’ai débuté ma carrière à Grenoble puis à Strasbourg avant d’émigrer vers le Rocher monégasque. C’est à Monaco que j’ai hérité de ce surnom via Stéphane Porato. J’ai inventé le concept de 9 1/2 en équipe de France et en dépit de mon égo surdimensionné, j’étais un put.. de joueur, redoutable renard des surfaces et tireur de coup franc. J’ai joué avec un certain Ronaldo à l’Inter et on a gagné ensemble la coupe UEFA.
Bobo:
Non, je n’ai pas joué dans les Bronzés... Je réponds au doux prénom de Christian mais mon surnom me colle à la peau. Joueur italien, puissant, doté d’une frappe du pied gauche remarquable, ma carrière footballistique a connu de nombreaux soubresauts: des hauts (Juve, Inter) et de nombreux bas (qui se souvient de mon passage à Monaco?). Homme à femmes (on est italien ou on ne l’est pas), j’a l’habitude de taper dans le top du top (Maïté s’abstenir). A la manière d’un Xavier Gravelaine, j’ai posé mes valises dans de nombreux clubs (une grosse dizaine) avant d’attérir cette année à Bergame où j’ai mes habitudes dans les nights clubs de la ville.
L’Oignon:
Ephémère milieu gauche du PSG, je suis argentin et comme tout argentin, ma grinta et ma générosité sont ma marque de fabrique. Chouchou de Guy Lacombe, j’ai piqué la place de Jérôme Rothen, à son grand désarroi. J’évolue désormais au Benfica Lisbonne et je continuede soigner mon look en arborantun magnifique catogan. Je suis surnommé l’oignon car, avec mes dribbles déroutants et chaloupés,je fais pleurer les défenseurs adverses (en toute modestie). Je sais que les défenseurs de L1 n’ont pas pleuré des masses mais en CFA, ça arrivait parfois.
MrXu:
Champion olympique 84, ma coupe de cheveux improbable est encore dans toutes les mémoires. International français, j’ai joué aux côtés de Cantona à Montpellier avec qui j’ai gagné la coupe de France. J’ai émigré par la suite à l’OM où j’ai glané un titre de champion de France. Véloce, efficace, ma moustache savamment entretenue terrorisait les défenseurs adverses.
On aurait également pu évoquer Matrix (Materazzi) ou Pinturicchio (Del Piero), voire Trilli Campanellino (littéralement la Fée Clochette pour Pirlo).
Ou encore Casque d’Or (Kombouaré) ou La Prune (Prunier).
Plutôt jouable ce Top 5. Je vous laisse le soin de deviner qui se cache derrière ces sobriquets.