Ici, mettez des sujets de foot interessant

ce qui et bizare de dire ca car wenger et un entraineur vachement respecter par enormément de monde
pour en revenir a ton sujet morgan sur les joueurs qui ont été révéler mais aprés oublier ca peut faire a beaucoup d'attaquant :S

Ouai je sais mais eux c'etaient marquant quand meme. Et c'est aussi une lecon qu'il faut retenir pour ne pas s'enflammer sur un attaquant qui realise une ou deux bonne premiere saison reussi...
J'pense à Gomis là, j'sais pas pourquoi ^^

non mais ta raison de penser a lui j'ai fait pareil mdrr
et dire que marseille voulait l'acheter :O heuresement pour nous^^

Ouais c'est clair mdr ! Il aurait encore moins eu sa place à l'OM !! xD

Ca aurait été un fiasco lui.
Certain joueur de l'OM sont en galere et s'en sorte vers la fin de la saison (Zenden, Civelli, Rodriguez, Hilton...) mais Gomis, vu le mental fragile qu'il a, il aurait coulé ça c'est sur.

Foot - C3 - 0-0 à l'aller, les Français adorent

Les chiffres enseignent que le Paris-SG a seulement 33% de chances de se qualifier pour les demi-finales de la Coupe de l'UEFA, après son 0-0 concédé au Parc des Princes contre le Dynamo Kiev. Sur 519 matches européens dont l'aller a été nul et vierge, l'équipe qui se déplaçait au retour ne s'est qualifiée que 174 fois. En quart de finale, ce chiffre est encore moins important (28%), et il est encore inférieur sur les seuls quarts de la Coupe de l'UEFA (21%)...

En fouillant dans les annales, le club de la capitale a en réalité, beaucoup plus de chances passer. Le double ! C'est la règle depuis vingt ans pour les clubs français. Le 0-0 à domicile à l'aller retourné au retour est quasiment devenu une spécialité française depuis la saison 1989-1990 et une qualification de Monaco contre le Dinamo Berlin (0-0, 1-1). Sur les treize cas de 0-0 initiaux qui ont été enregistrés, neuf clubs tricolores se sont ensuite qualifiés. Le meilleur d'entre eux fut justement le PSG. Au tour précédent de l'actuelle Coupe de l'UEFA contre Braga, c'est exactement ce qu'il avait réussi (0-0, 1-0). Son parcours jusqu'en demi-finale de la Coupe de l'UEFA 1992-1993 l'avait aussi conduit à arracher un 1-1 salvateur à Bruxelles devant Anderlecht. Sur la route de sa finale de Coupe des Coupes en 1997, en quart de finale, un triplé de Partice Loko lui avait permis de refroidir l'AEK Athènes (3-0), après un score vierge au Parc...

Monaco, Marseille, Toulouse...
Le plus célèbre de ces renversements tricolores concerne le 1-1 de Monaco à Manchester United en quart de finale de la Ligue des champions en 1998. Un an plus tard, en demi-finale de la Coupe de l'UEFA 1998-1999, Marseille avait aussi obtenu un tel résultat à Bologne. Le PSG ne peut pas craindre le contexte particulier d'un voyage à l'Est : Toulouse, l'an passé s'était extrait d'un premier tour piégeux de Coupe de l'UEFA contre le CSKA Sofia (0-0, 1-1). Evidemment, ça ne marche pas à tous les coups. Un 0-0 à l'aller célèbre côté français est celui qu'avait concédé Lyon à l'AC Milan. L'OL était qualifiable jusqu'à la 87e minute. Avant de perdre 3-1.

Regardez cette video, c'est une agressions totalement bète et honteuse d'un joueur que je deteste, meme si je ne l'ai jamais dit.
Je rajoute que ce joueur là peux meme se cacher car je le trouve très mauvais et n'a mème pas le niveau d'un club correcte.
Cette video est tres médiatisée en Espagne et on espere tous que la sanction sera très lourde.

https://www.dailymotion.com/related/x9266q/video/x925dh_pepe-real-madrid-vs-getafe-pepe-pet_sport?hmz=74616272656c61746564

Accidents de parcours

Tous ces joueurs ont eu une grande carrière. Mais tous ont un jour mordu la poussière dans un club, faute de réussite. Et la plupart d’entre eux a su rebondir ailleurs, étant donné leur talent.

Roberto Baggio (Milan AC):
Il Divin Codino était depuis fort longtemps l’objectif de Berlusconi, qui avait auparavant raté le transfert de Diego Maradona, qu’il rêvait d’associer à Gullit et Van Basten. C’est chose faite en 1995, où Roby quitte la Juventus, en froid avec Marcello Lippi et victime de la concurrence avec Del Piero. Le trident offensif Weah Baggio Savicevic est appelé à dominer l’Europe mais Fabio Capello, malgré un Scudetto en 1996, ne pourra endiguer la fin de cycle. La défaite 3-0 en C3 contre les Girondins de Bordeaux en est le criant symbole ainsi que l’élimination dès les poulesen C1 la saison suivante (1996-97). Le Ballon d’Or 1993 rebondira à Bologne, gagnant sa place dans les 22 italiens pour le Mondial 98, avant de rejoindre l’Inter puis de devenir le héros de Brescia.

Dennis Bergkamp (Inter Milan):
ancienne gloire d’Ajax, le successeur désigné de Marco Van Basten ne s’adapte pas au Calcio. A Orlando en 1994, il développe unephobie de l’avion en pleine World Cup américaine. Ce handicap l’empêche ainsi de participer aux déplacements pour les joutes européennes. Mais Bergkamp prouvera son talent à Arsenal,remis en confiance par Arsène Wenger. Il sera le pilier des Gunners pendant plus de dix ans.

Laurent Blanc (Naples):
trop jeune après son expérience àMontpellier, Blanc échoue dans le Calcio mais le Présidentsaura rebondir après à Auxerre, Barcelone, Marseille, l’Inter Milanet enfinManchester United, où il retrouvera son pote Barthez. Et surtout, Blanc deviendra un monument du football français, en tant qu’artisan majeur du doublé Coupe du Monde 1998 - Euro 2000, sommet de son immense carrière.

Deco (Chelsea):
indésirable au Barça à l’arrivée de Pep Guardiola, Magico Deco rejoint Chelseaqui vient d’engagerLuiz FelipeScolari (ancien sélectionneur du Portugal) comme coach. Malgré des débuts convaincants, l’expérience anglais de Deco tourne vite au vinaigre ... surtout que Scolari est viré sans autre forme de procès par Roman Abramovitch, dont la patience est encore plus limitée qu’autrefois en ces temps de crise (le Russe a perdu une bonne partie de sa fortune). L’ancienne star du FC Porto doit retrouver un championnat plus technique. Pourquoi ne pas rejoindre Mourinho à l’Inter Milan voire en Espagne, puisque le Special One a l’intention de gagner la Liga à terme?

Gheorghe Hagi (FC Barcelone):
le Maradona des Carpates, isolé en série B à Brescia, illumine la World Cup 1994 de tout son talent, avec un lob fabuleux contre la Colombie et un match piège réussi contre l’Argentine. Barcelone et Cruyff recrutent Hagi, qui remplace MichaelLaudrup poste pour poste. Mais Cruyff ne faitquasiment pas jouer Hagi, quatrième étranger, dans la première saison. Une fois Romario, Koeman et Stoitchkov partis,, Hagi joue un peu plus avec Figo et Popescu. Il serelancera totalementà Galatasaray, dont il deviendra le chef d’orchestre.

Thierry Henry (Juventus Turin):
prodige à Monaco, ailier gauche génial avec Sonny Anderson puis David Trezeguet, Henry aspire à un univers plus relevé après avoir gagné la Coupe du Monde sous le maillot bleu. Le bras de fer avec Jean-Louis Campora, alors président de l’AS Monaco, est long mais Henry finit par rejoindre Deschamps et Zidane à la Vecchia Signora, au mercato 98/99.Pas de chance, la Juventus fait une saison médiocre cette année là, et Henry ne s’adapte pas aux exigences du Calcio. Mais il ressuscitera à Arsenal, devenant le meilleur buteur de l’histoire du club londonien entre 1999 et 2007, avant de réussir à Barcelone

Michael Owen (Real Madrid):
le Wonderkid, révélé en 1998, Ballon d’Or en 2001, quitte Liverpool et rejoint les Galactiques Raul, Figo, Zidane, Ronaldo et Beckham dans un club aux allures de Titanic sportif. Perez continue à s’obstiner. Privé de temps de jeu, Owen marque quelques buts mais jamais il ne pourra s’imposer face à Raul et Ronaldo.Pas épargné par les blessures à Newcastle par la suite, Owen perd son statut de star en attaque au profite de Wayne Rooney.

Jean-Pierre Papin (Bayern Munich):
souvent blessé,JPP accumule les désillusions dans unFC Hollywood rongé par les rivalités Klinsmann Matthaus. Il va perdre sa place en équipe de France au profit de Youri Djorkaeff, nouveau buteur décisif des Bleus. Ayant perdu confiance au Milan AC sous la pression d’une féroce concurrence en 1993-94(Savicevic, Boban, Desailly), Papin retrouvera des couleurs à Bordeaux en fin de carrière.

Juan Roman Riquelme (FC Barcelone):
en pleine tempête Van Gaal, la pire saison du Barça (2002-2003), l’Argentin Riquelme n’échappe pas au naufrage collectif. Génie de Boca Juniors puis de Villarreal, il manque à Riquelme un grand titre mais ce joueur, comme Redondo ou Batistuta, aura fait bienmieux que faire patienter les fans argentins entre Maradona et Messi. Il aura notamment été le meilleur Argentin au Mondial allemand en 2006, à l’issue d’une saison où il aura porté le petit club de Villarreal en demi-finale de la Ligue des Champions. Riquelme qui ratera un penalty décisif contre Arsenal mais cet échec ne saurait entacher sa fabuleuse carrière, lui dont la technique de velours n’a rien à envier à Zidane ou Ronaldinho en la matière.

Ian Rush (Juventus Turin):
idole deLiverpool, où il est remplacé par John Aldridge en 1987-88, Rush tente l’aventure italienne. Le grand club turinois, orphelin de Platini, dispose tout de même du Danois Michael Laudrup dans ses rangs. Mais jamais le buteur gallois ne s’adaptera au Calcio. Seulement sept buts en série A et un retour prématuré en Angleterre... Mais Rush sera jamais à le symbole d’Anfield.

Matthias Sammer (Inter Milan):
en 1992, Sammer quitte Francfort pour l’Inter. Déboussolé par le départ de Matthaus et la fin du trio allemand (Matthaus Brehme Klinsmann), Sammer se retrouve vite quatrième étranger derrière Pancev, qui remplace Schillaci blessé en attaque. Il retrouve alors Dortmund au mercato 92/93. Ottmar Hitzfeld va alors faire de lui un immense libero, suite à une métamorphose impressionnante.

Andrei Shevchenko (Chelsea):
légende vivante au Milan AC, indissociable de Kakà, l’Ukrainien, Ballon d’Or 2004, quitte la Lombardie pour Chelsea, club de son ami Roman Abramovitch. Malgré la présence de Ballack, Lampard et Drogba à ses côtés, Shevchenko déçoit en Premier League, sous le regard de José Mourinho, à qui on a imposé ce transfert. Après deux saisons ratées à Londres, Andriy retrouve le Milan AC, nouvelle maison de retraite du foot européen (Maldini, Beckham,Nesta, Inzaghi...) avec un autre ancien Ballon d’Or en quête de rachat: Ronaldinho.

Hristo Stoitchkov (Parme):
fâché avec Cruyff, seul maître à Barcelone, le Bulgare, Ballon d’Or 1994,ne s’adapte pas au Calcio. Seulement cinq buts malgré un joueur du talent de Gianfranco Zola pour lui offrir des caviars, à la grande époque du club parmesan. Retournant au Barça, Stoitchkov est ensuite barré par Ronaldo puis Rivaldo, avant de s’exiler en Arabie Saoudite et aux Etats-Unis. Triste fin de carrière pour ce héros du Camp Nou, pilier de la Dream Teamqui a marqué plus de cent buts sous le maillot blaugrana.

Dragan Stojkovic (Marseille):
roi de Belgrade et de Vérone, Stjokovic arrive sur la Canebière dans un contexte de forte concurrence. Certes, Francescoli a quitté le club de Tapie, mais Papin, Cantona, Abedi Pelé, Waddle, Vercruysse sont autant d’atouts offensifs. Le fait de changer de coach (Gili, Beckenbauer, Goethals)n’aidera pas celui qu’on surnomme Pixie. Cruelle ironie du sort, le génie yougoslave perd la finale de la C1 1991 avec l’OM face à ses anciens équipiers Prosinecki, Pancev et Savicevic. Il finira sa carrière dans un exil doré au Japon, nouant une collaboration inoubliable avec Arsène Wenger à Nagoya.

Davor Suker (Arsenal):
le Croate, bien que meilleur buteur de la Coupe du Monde 1998 en France, est en disgrâce au Real Madrid. L’éclosion du jeune Morientes en soutien de Raul et Mijatovic prive Suker d’une place de titulaire. Il rejoint alors Arsenal mais la greffe n’opère pas vraiment pour Davor.

Juan Sebastian Veron (Manchester Utd):
triomphant à Parme et à la Lazio, l’Argentin, fantastique manieur de ballons, commet l’erreur de franchir la Manche, dans un championnat qui réussit peu aux Latins. Alex Ferguson, qui se trompe rarement, ne fera pas de Veron un élément décisif de sa nouvelle équipe (recrutements de Van Nistelrooy et Laurent Blanc autour du noyau dur Giggs, Scholes, Keane, Beckham ...). Manchester United est alors impuissant face à l’hégémonie d’Arsenal, porté par sa diasporade Frenchies (Henry, Vieira, Pires, Wiltord). Jugé (avec d’autres)responsable de l’élimination de l’Argentine au premier tour du Mondial asiatique en 2002, Veron rejoindra ensuite Chelsea et perdra progressivement de sa superbe.

Voilà, après 97 minutes d’un match riche en émotions, c’est le FC Barcelone qui se qualifie pour la finale de la Champions League. Un scandale pour certains, mais en réalité un juste retour des choses. Les catalans ont été les seuls à jouer au football, et ont gagner le droit d’affronter Manchester United pour le titre suprême. Vivement le 27 mai!


Le Barça, une identité assumée.

Le FC Barcelone n’est pas un club apprécié partout dans le monde pour ses stars, mais également parce qu’il a su développer une véritable identité de jeu et s’y tenir. L’attaque, rien que l’attaque et toujours l’attaque. Pour ce faire, il pratique un jeu léché, fait de redoublement de passe, d’étirement du bloc adverse et de quelques exploits personnels. C’est avec ce jeu que l’équipe nous a fait rêvé et continue de le faire. L’équipe avait donc entamé cette demi-finale sûre de ses forces, mais elle a due lutter jusqu’au bout pour battre une équipe de Chelsea au jeu insipide.

Chelsea, une élimination méritée

Ce constat peut s’avérer assez direct, mais une qualification de l’équipe londonienne aurait paru injuste. Comment un club, qui a dépensé des millions d’euros depuis plusieurs années pour se bâtir une équipe aussi compétitive, peut-il accepter de pratiquer un jeu aussi indigent? Avec un tel effectif, n’importe quelle équipe parvenue en demi-finale de la Champions League aurait jouée la gagne, mais pas Chelsea. Hiddink a fait le pari du défi physique et de la rigueur défensive, et cela a failli marcher. Mais le fait est là, en déjouant, Chelsea à surtout subit. Hier soir, la possession de balle des catalans était limite humiliante face à une équipe qui n’a jamais su développer une seule phase de jeu. Toujours le même schéma: Cech récupère le ballon, le dégage vers Drogba, Chelsea perd la balle et toute l’équipe se regroupe dans les trente derniers mètres.

Une attitude indigne d’une grande équipe.

Cette stratégie ultra défensive, une équipe la pratique quand elle est indéniablement plus faible que son adversaire, voir qu’elle ne joue pas dans la même division...mais Chelsea? Cette même équipe qui a dans ses rangs Drogba, Essien, Lampard, Cech? J’appelle cela tout simplement du gâchis. Alors oui on pourra dire que l’arbitrage était lamentable, oui plusieurs penaltys auraient dus être accordés, mais tout comme le fait qu’Abidal n’aurait pas du être exclu pour un «plongeon» de Nicolas Anelka, décidément peu inspiré hier soir. Mention spéciale quand même à Essien, auteur d’un but aussi somptueux que chanceux, et surtout à Drogba, pour moi le meilleur attaquant du monde avec Ibrahimovic. Son impact physique et sa conduite balle au pied ont fait qu’il n’a perdu aucuns de ses duels, si ce n’est les plus importants, ou il s’est retrouvé deux fois seul face à Victor Valdes, pour deux exploits du gardien catalan. Le reste de l’équipe des Blues est a ignoré, tant les joueurs se sont comportés comme des automates bien en place, cassant le rythme du jeu par des simulations et jouant de manière agressive, pour une capacité d’inspiration proche du néant. Au final c’est le Barça qui y a mis toutes ses tripes et est allé chercher cette finale de la Champions League, grâce à une frappe limpide d’Iniesta, la seule cadrée du match.

Barcelone dans la douleur

Côté Barcelone, le jeu développé n’a pas été franchement flamboyant, avec zéro frappe cadrée en 92 minutes de jeu. Guardiola a certes du composer avec une équipe fortement remanié, mais on peut reprocher à des joueurs comme Busquets et Seydou Keita leur manque d’impact sur le jeu pour des postes aussi cruciaux. Daniel Alves à également déçu, et sera suspendu pour le match le plus important de sa saison par pure bêtise. Une suspension qui lui a sûrement fait perdre sa concentration, avec une série de mauvais choix, de centres au troisième poteau et d’échecs sur coups francs (pourquoi s’est toujours lui qui les tire?). L’entraîneur a également étonné, en ne faisant qu’un seul changement à la 85ème (entrée de Bojan), alors que plusieurs joueurs étaient sur les rotules. Mais au moins cette équipe aura eu le mérite de toujours y croire et de maintenir sa volonté d’attaquer. Quand Abidal s’est retrouvé exclu, la défense est restée à trois joueurs, pour privilégier l’attaque, un choix très risqué. Piqué, exceptionnel de hargne hier soir, s’est même mué en joueur d’avant-poste!

Manchester Utd-FC Barcelona: La grande finale.

On peut s’extasier de voir que la finale de la Champions League opposera au Stadio Olimpico les deux plus belles équipes du monde à l’heure actuelle. Manchester, auteur d’un parcours sans faute, partira avec un léger avantage face à un Barcelone privé de ses deux latéraux (probablement Abidal sera remplacé par Sylvinho, et Daniel Alves par Caceres). Mais surtout, ce sera l’occasion de voir LE match dans le match, à savoir la confrontation Messi-Cristiano Ronaldo. Les deux joueurs mènent une lutte sans merci pour le titre de «meilleur joueur monde» et pour la conquête du prochain Ballon d’Or, on peut donc s’attendre à des étincelles de la part de ces deux formidables attaquants. Ce sera aussi l’occasion pour l’équipe qui l’emportera d’entrer dans l’histoire du football mondial. Rappelons que Manchester est toujours en course pour un sensationnel quadruplé, alors que le Barça peut espérer la conquête de trois titres, mais surtout devenir l’équipe la plus belle que le club ait jamais connue.

quand tu regarde la liste des joueurs meme en s'étant chier dans un club c des joueurs hors norme qui ont marqué listoire du foot

Ouai, comme quoi ça arrive aux plus grands ^^