Ici, mettez des sujets de foot interessant

Je suis très fier que ce joueur joue et qu'il soit formé au PSG.
Titulaire dans un grand club Français à seulement 18 ans. Il a disputé son premier match de Coupe d'Europe le jour de ses 17 ans.
Il a été surclassé de toutes les catégories de jeunes...
C'est un futur très grand defenseur et il est deja international Espoir malgré son très jeune age. C'est le meilleur defenseur de sa generation.
Bravo Mamadou Sakho et continue.

Fondé en 1899, l'AC Milan a attendu neuf ans la création de son petit frère (ennemi) l'Inter. Ce dernier est né un soir de mars 1908 dans l'arrière salle d'un restaurant milanais "l'orologiao" (l'horloger) par des dissidents du "Milan Cricket and Football Club", l'ancien nom de l'AC Milan. A l'origine, un désaccord sur la politique de recrutement. Le Milan refusait à ses débuts d'engager des joueurs étrangers. Le FC Internazionale Milano trouve son créneau dont il ne se départira jamais. Les supporters milanais choisissent leur camp et c'est assez naturellement que les bourgeois se tournent vers l'Inter et les couches populaires plutôt vers l'AC Milan. En 1908, le premier derby est remporté par les Rossoneri (2-1) et il est appelé le " Derby della Madonnina" en l'honneur à la statue de la vierge Marie (la "Madonnina"), qui trône au-dessus de la cathédrale.

Plusieurs figures ont marqué les deux clubs. Le cas le plus connu est celui des frères Baresi. L'aîné Guiseppe, milieu défensif, a effectué toute sa carrière à l'Inter alors que son frère Franco, défenseur central, est devenu l'une des légendes de l'AC Milan et l'un des plus grands défenseurs italiens de l'histoire. Aujourd'hui encore, les deux frères travaillent pour leur club respectif : Giuseppe est l'un des adjoints de José Mourinho alors que Franco occupe le rôle de vice-président. Autre figure emblématique, le célèbre Guiseppe Meazza, buteur à 283 reprises en 408 matches avec l'Inter. Il a passé 13 saisons (1927 - 1940) chez les Nerazzurri avant de rejoindre les Rossoneri (1940-1942) et de finir sa carrière comme joueur et entraîneur à l'Inter... Le stade milanais porte son nom depuis 1979, succédant ainsi à San Siro, nom du quartier où est implanté l'enceinte. Aujourd'hui, les deux clubs sont représentés par des présidents ultra-puissants, Silvio Berlusconi pour le Milan et Massimo Moratti pour l'Inter. Toutes compétitions confondues, le bilan comptable penche très légèrement en faveur de l'Inter avec 106 victoires contre 91 (72 nuls).

Fort de quatre victoires consécutives, série en cours, le Paris-SG trône au lendemain de la 24e journée à la deuxième place du classement, dans le sillage de Lyon (à quatre points). Mais si les joueurs et leur entraîneur se refusent toujours à le reconnaître, c'est bien le titre de champion qu'ils sont en train de jouer. Alors ont-ils réellement les moyens de l'emporter ?

Eléments de réponse :


OUI LE PSG PEUT Y CROIRE

- Car il est de nouveau souverain dans son jardin. Après deux saisons plus que laborieuses, voire calamiteuses, notamment au Parc des Princes, les Parisiens ont retrouvé leur efficacité à domicile. Dans ce secteur, ils occupent même la première place du classement avec 28 points engrangés en douze matches, dont neuf victoires, devant Lyon (27) et Rennes (27). Malgré deux défaites précoces concédées face à Grenoble (0-1) et Toulouse (0-1), Paris fait de nouveau peur dans antre. Si bien qu'il y est désormais invaincu depuis le 29 octobre en Championnat.

- Car il sait gagner... quelle que soit la manière. Avec neuf victoires à son actif par un seul but d'écart, Paris a perdu cette saison ses mauvaises habitudes passées. L'équipe est d'ailleurs celle qui a remporté le plus grand nombre de matches par la plus petite des marges (9). Symbole qu'elle sait dorénavant conserver un avantage au score, et résister à la pression mise par ses adversaires. Le club parisien est également celui avec Lyon qui a remporté le plus de matches (14), quel que soit le résultat. S'il continue sur ses bases, il sera assurément au moins parmi les trois premiers en fin d'exercice.

- Car ses individualités montent en puissance. A l'image de Guillaume Hoarau, deuxième meilleur buteur de Ligue 1 (13 buts), et de Stéphane Sessegnon, dynamiteur du milieu parisien, le Paris-SG possède dans son effectif des joueurs de qualité capables de faire la différence à tout moment. Mais outre ces deux-là, d'autres moins exposés le sont tout autant, comme par exemple Mamadou Sakho et Jérémy Clément, buteurs samedi contre Saint-Etienne. Le défenseur de 19 ans, qui a prolongé son contrat jusqu'en 2012, affiche une sérénité impressionnante dans l'axe. Son retour dans le onze parisien n'est d'ailleurs pas étranger aux bons résultats de son équipe. La combativité et l'énergie de Clément y sont aussi pour beaucoup. Tout comme le retour en forme de Mickaël Landreau, qui semble avoir tiré un trait sur sa non-sélection pour l'Euro 2008.



NON IL NE SERA PAS CHAMPION

- Car il possède un effectif trop limité par rapport à ses rivaux. Au regard des nombreuses absences survenues tour à tour à Marseille et à Lyon, Paris peut jusque-là s'estimer heureux d'avoir été épargné par les blessures. Oui mais voilà, si la donne était dans les prochains mois inversée, Paul Le Guen serait alors contraint de faire avec les moyens du bord, surtout à certains postes. Il le sait, son groupe, bien que de qualité, n'est pas assez étoffé. Les deux latéraux Ceara et Sylvain Armand n'ont par exemple par de remplaçant attitré. Tout comme Jérôme Rothen dans le couloir gauche. Sans compter que Claude Makelele et Stéphane Sessegnon pourraient eux être rattrapés par la Commission de discipline, et suspendus pour une longue durée, suite à leur «excès d'engagement» contre Saint-Etienne. Difficile donc dans ces conditions d'envisager le succès sur la durée.

- Car son calendrier n'est pas favorable. Avec trois déplacements chez ses rivaux à Toulouse, Lille, et Lyon, le Paris-SG s'apprête à vivre des mois difficiles. D'autant qu'en plus du Championnat, il est encore engagé en Coupe de l'UEFA et en Coupe de France. Il va ainsi disputer six rencontres au cours des trois prochaines semaines. Des choix s'imposent à Paul Le Guen. L'entraîneur parisien va-t-il privilégier comme en début de saison un turnover pour ménager les organismes de ses cadres ? Ou jouer sur tous les tableaux, au risque de trop tirer sur la corde ? Une chose est sûre, les prochains matches seront déterminants pour la suite de la saison. A commencer par la réception de Marseille le 15 mars, qui lancera une série infernale de six rencontres (à Toulouse, contre Nice, à Lille, contre Le Havre, à Lyon, contre Rennes), sans doute décisives pour l'attribution du titre.

- Car il est le moins performant à l'extérieur. Avec sept défaites concédées en Ligue 1, dont cinq à l'extérieur, Paris est de loin le prétendant au titre qui s'est incliné le plus souvent. Et malgré leur nette victoire à Nantes (4-1), en partie due aux grosses lacunes affichées par les Canaris, tout porte à croire que le style de jeu des Parisiens, basé sur l'attente et la contre-attaque, n'est pas le mieux adapté pour s'imposer loin du Parc. C'est en tout cas celui, paradoxalement, qui semble poser le moins de difficultés à ses adversaires. A l'inverse des Lyonnais et Bordelais notamment, qui s'efforcent d'imposer leur rythme aussi bien à la maison qu'hors de leurs bases, les joueurs de la capitale préfèrent se montrer prudents en déplacement. Parfois, cela suffit. Pour le titre en revanche, cela risque fort de ne pas être suffisant.

Remake du dernier France-Pays bas (1-4) jeudi soir au vélodrome. Même si le score est moins lourd et laisse aux marseillais un maigre espoir de qualification.
Pourtant, sur le papier, les deux équipes semblent de force comparable, un petit peu plus d’individualités côté Marseillais, mais la confiance actuelle des joueurs d’Enschede suffit largement à combler cette petite différence. Pour Marseille par contre, la dynamique est moins bonne, les 6points acquis lors des deux derniers matchs sont trompeurs et l’équipe tourne moins bien qu’en début de saison, plus lisible, moins sûre de sa force. La victoire face à Bordeaux résulte d’un jeu physique à contre nature qui ne peut devenir une constante dans cette équipe, celle face à Monaco s’est faite en dépit d’un match d’une pauvreté technique affligeante.

En plus, pour ce match, Gerets a fait tourner (je suis agréablement surpris par Mears d’ailleurs) et il ressort son 4-4-2 en losange qui semble idéal pour l’équipe, mais qui n’a jamais trés bien marché depuis son arrivée, entrainant des retours fréquents au 4-3-3. Pour que ça marche il faut un 10 à la hauteur, mais Valbuena est un peu léger pour le rôle, et Ben Arfa a perdu confiance.

Bref, déjà, ça ne s’annonce pas aussi déséquilibré qu’au niveau du palmarès, et ça va même être le contraire. Rapidement, Twente impose son jeu, son rythme. Elle le fait enchainant les mouvements collectifs avec une remarquable application technique, trouvant de magnifiques passes entre les lignes qui éliminent plusieurs adversaires, dribblant à bon escient, vers l’avant, par l’intermédiaire de ses deux redoutables ailiers Arnautovic et Elia. Pendant ce temps, excités par quelques situations dangereuses en leur faveur, les olympiens se précipitent, pensent déjà à gagner 3-0, font preuve d’impatience à la récupération. Le milieu se livre trop, et les néerlandais le laissent se disperser en courses individuelles jusqu’à créer des décalages fatals. La défense ne pense plus à défendre, N’Kufo part dans le dos et sert Arnautovic que Taiwo suit de façon trop éloignée (de la même façon qu’Evra lâchant Van Persie pour le 2-0 en juin), 1-0.

La défense de Twente, comme celle des pays-bas, est une défense à l’ancienne, lourde et simple. Niang et Koné la bousculent mais avec Valbuena ça ne fait que 3 purs offensifs, Kaboré et Cheyrou ne se mêlant pas à la lutte dans la surface de verité. Niang va baisser le pied petit à petit et la défense batave passera une fin de soirée tranquille.

Mais le plus impressionnant, c’est de voir comment l’équipe Marseillaise s’est désagrégée une fois menée au score. Twente est le principal responsable: ils continuent à imposer des courses désespérées au milieu marseillais et à mettre la défense sous pression par des attaques rares mais de qualité, des attaques posées, pas des contres. Contraint à défendre alors qu’il voudrait apporter offensivement, Taiwo se met à enchainer les erreurs techniques et est en retard sur tous les duels. Valbuena cherche des fautes (et il n’a pas besoin de beaucoup chercher) Cheyrou ne trouve plus de solution, M’Bami enchaine les controles orientés sans jamais trouver d’espace. Plus aucun Marseillais ne sait quoi faire du ballon que Twente lui confisque une bonne partie du temps. Prendre des risques au risque de la perdre et de mettre 3 minutes à la retrouver? Conserver la balle pour reprendre confiance? Peu importe, c’est déjà trop tard, Twente a verrouillé l’affaire, gagne tous les duels physiques pendant que l’OM accumule les mauvais choix, les erreurs techniques et les fautes stupides. La différence est nette, Twente articule les qualités de ses joueurs autour d’une stratégie de jeu claire et nette dans laquelle chaque joueur a à sa disposition plusieurs solutions qui ont toutes un sens. L’OM aligne une équipe pleine de talent, de joueurs susceptibles d’exploiter les situations favorables et d’en créer, mais n’a pas de projet collectif pour causer la faillite générale de son adversaire. Remarquez que les joueurs de Twente ne commettent jamais de fautes en attaquant, ils ne font que des fautes défensives, alors que les offensifs marseillais perdent vite patience, poussent, vont au contact pour rien, ce qui est stupide, des fautes de frustration qu’on ne commet pas si on a un plan de jeu et que perdre un ballon n’est pas catastrophique mais... "prévu".

Alors certes ils ont aussi eu de la reussite les bataves, ils auraient pu prendre un ou deux buts au vu des occasions, comme leur équipe nationale face à la France. Mais on ne peut que féliciter l’extrême efficacité de leur jeu quand ils ont un minimum de reussite pour reunir des conditions propices à sa mise en place: mener au score assez tôt, c’est l’idéal.

C'est sans doute le sujet le plus interessant de tous, c'est mon avis :





Zidane n’a pas été formé par le système de formation défini par la FFF. Dieu merci!
Zidane a été formé par lui-même.

Zidane rime avec La Castellane, son quartier de naissance qui l’a vu grandir.

Zidane est un autodidacte du football.

Zidane est avant tout un surdoué qui a su développer seul, sa différence naturelle.

Zidane n’a pas eu besoin d’être entraîné, dirigé, commandé, pour apprendre.

Zidane a passé des heures et des heures, tous les jours, à taper dans la balle en bas de chez lui.

Zidane n’a jamais travaillé son jeu, il l’a appris avec plaisir.

Combien de joueurs dans le monde pourraient se reconnaître au travers ces allégations. Des centaines. Peut-être plus. Oui beaucoup plus. En connaissez-vous?

Moi oui.

Je citerai à la volée, après avoir lu leur CV, Pelé, Maradona, Cruyff, Platini, Guarrincha, Socrates, Kopa, Fontaine, aujourd’hui Ribéry, Messi, Ronaldo... rien que cela, tous issus de la rue.

Mais quel est le dénominateur commun de tous ces Grands joueurs du football, les plus Grands (par le talent), qui nous on fait rêver et aimer le football?

La rue.

Et oui, la rue, tout simplement. La rue au Brésil, en Argentine, en France, en Espagne, en Afrique...Ces mêmes rues qui auront donné, et qui donne encore aujourd’hui au football ses lettres de noblesse. Ces mêmes rues qui, à l’heure où j’écris ces mots, façonnent, forment et non déformes les génies de demain, les futures stars qui vont éclabousser les écrans de leur talent et faire rêver nos enfants, vos enfants.

Mais qu’est-ce que la rue?

Pour avoir étudié la question d’un peu plus près, la rue est l’endroit idéal pour parfaire son jeu, développer sa technique, sa malice, améliorer son sens de l’anticipation, sa créativité. En d’autres termes, augmenter de façon considérable son niveau de jeu, afin d’atteindre le sommet de son art.

Car que retrouve t-on dans la rue?

Des terrains défoncés, durs, exigus, dans un terrain vague, sur une place, dans la cour d’école, sur une plage, sur une route, dans un champ...

Un ballon de fortune, mal gonflé, fait de chiffon, une boîte, une bouteille, un caillou, ou tout objet susceptible de rouler...

Des heures durant à toucher le ballon, le soir tard, jusqu’à pas d’heure, chez les copains, les voisins, pendant toutes les vacances, à l’école, dans sa cour...

Contre des plus grands, des plus costauds, des plus rapides, des plus âgés, des plus forts, des plus puissants...

Des conditions de jeu en fin de compte exceptionnelles qui vont obliger le surdoué, le joueur différent, à se surpasser pour être le plus vite possible accepté des autres. Avant d’être plus tard choisi en premier dans les constitutions d’équipes de quartiers, car trop fort, le jeune Zidane va devoir s’armer de patience, et trouver toutes les stratégies possibles et inimaginables pour être respecté, enfin, lui, le frêle, le timide.

Son intelligence naturelle, sa lecture du jeu, son sens du collectif, sa facilité de dribble, sa technique hors norme, vont être ici plus qu’ailleurs mis à rude épreuve.

Qu’importe!

Zinédine a besoin de ces obstacles pour tester son jeu, ses feintes apprises contre un mur, qui inlassablement lui renvoie la balle. Il a besoin de difficultés pour sentir qu’il progresse. Il se mettra naturellement, par exemple, avec l’équipe la plus faible, ou en infériorité numérique, car il sent qu’il peut à lui tout seul faire la différence. Et il l’a fait.

Comment éliminer un jouer plus costaud? Avec la tête.

Comment dribbler un joueur plus rapide? Avec la tête.

Comment prendre le ballon à un grand? Avec la tête.

Comment maîtriser le ballon afin de ne pas le perdre? Avec la tête.

ZZ va s’en le savoir développer en lui tous les éléments de son jeu qu’il affectionne, qu’il maîtrise parfaitement, sans personne derrière lui qui lui dirait:

«mais donne ta balle»

«joue plus vite»

«arrête de dribbler»

«accélère»

«joue simple»

«dégage devant».

Ses meilleures armes: sa réflexion(cognitif); son analyse de la situation; sa prise de décision rapide et efficace; son intelligence; sa capacité à retenir le bon geste, à éliminer le mauvais choix de jeu.

De plus, le petit de La Castellane d’un point de vu «scientifique» (cognitif, sensori-moteur, apprentissage, acquisition, perception, mémoire, coordination...), construit son bagage de footballeur au moment le plus opportun de sa vie. A savoir entre 5 ans et 13 ans, période de vraie formation. Après il est trop tard. Il optimise son développement corporel, et met toutes les chances de son côté dans la rue pour devenir le meilleur de lui même. Chose que ne peut pas faire le jeune des grandes villes, qui lui jouera à la Playstation.

Nous devrons donc parler de post formation, ce qui n’est pas la même chose, vous en conviendrez.

Zinédine est devenu Zidane par Zidane lui-même.

Ses camarades de jeu n’avait d’autres alternatives que de l’admirer, de l’encourager, de le motiver à poursuivre son chemin de joueur différent, talentueux, créatif.

Tu m’étonnes!

Les enfants entres eux savent très bien faire la différence entre le fort et le faible, et prendre les décisions radicales qui s’imposent. C’est la dure réalité de la rue. Le fort est respecté. On le prend automatiquement dans son équipe. On le bichonne. On le laisse jouer, libre. On le laisse commander le jeu. On ne l’engueule pas lorsqu’ il rate un geste, une passe, un tir. On sait pertinemment qu’à un moment donné ou un autre, il va nous faire la différence et gagner le match. Patience.

Zidane grandi dans ce contexte favorable de la rue.

Sans la rue, Zidane aurait-il était Zidane?

Ce dont je suis certain en revanche, c’est que Zidane a mémorisé et développer au fil des années ce qu’il est indispensable de posséder et de développer pour être un bon, un très bon footballeur. Le bon geste, la bonne passe, le bon dribble, la bonne anticipation. Tout ce qui fait le beau jeu, un jeu efficace, un jeu de gagnant, celui qui s’apprend dans la rue. Car pas question de perdre contre le quartier d’à côté. Question d’honneur.

De son style si particulier qu’il ne cessera de peaufiner, Zidane va à 15 ans, après un passage par le club de Marseille du SO Séptèmes, être repéré par Monsieur Jean Varraud, alors recruteur de l’AS Cannes. Jean Fernandez, entraîneur des pros de l’époque, après un certain temps, l’observe à son tour. Bingo! un an plus tard, Zidane signe un contrat pro.

Je vous pose la question suivante:

Qui a formé Zidane?

L’AS Cannes en un an de formation? Quelle rapidité!

Bien sûr que non.

L’AS cannes lui a apporté, comme à tous joueurs d’un centre de formation, la logistique, les ballons, les terrains, le matériel, les médecins du club, les différents schémas tactiques de jeu.

L’AS Cannes ne lui a pas appris à jouer au football. Ne l’a pas formé, au sens propre du terme. Il aurait fallu pour cela que l’AS Cannes prenne Zidane dès 5 ans et le sorte de sa rue, afin de l’entraîner tous les jours pour qu’il devienne Zidane qu’on connait.

Encore faut-il être capable de détecter à 5 ans le surdoué de la bande. Mais qui en est capable?
Et dire qu’il y avait à cette époque un joueur encore plus fort que lui (dixit Zidane).
Mais où est-il?
La rue lui aura tout donné. Zidane le reconnaît d’ailleurs très bien lui-même dans différents papiers.

Sa technique de base, son style caractéristique, si particulier, son talent, sa vista, son sens du jeu, son intelligence balle aux pieds. Il l’avait en lui, c’est un fait. Il l’a développé, façonné lui-même, sans l’aide de personne.

Enfants du monde, les clubs ont tendance à vous castrer, vous brider, vous décourager, vous déformer, vous proposer des exercices à l’entraînement ennuyeux qui ne correspondent pas à votre niveau de jeu, votre talent, votre vision du football. Gardez cette différence qui vous donnera avant tout du plaisir, et qui pourquoi pas pourra peut-être un jour vous faire repérer. Cultivez cette différente dans la rue, seul lieu de formation inégalé qui respectera votre talent naturel, ce pour quoi vous aimez le football. Le plaisir du jeu.

Sujet à lire, dites ce que vous en pensez...

Excellent cet article, en plus, c'est la pure réalité, les meilleurs joueurs du monde viennent de la rue, Pelé et Maradonna aussi à mon avis ...

Bin oui Pelé et Maradona viennent bien de la rue. Je peux te le confirmer

Voici un super article sur la pépite Italienne, la révélation, un prodige, bref un joueur qui a beaucoup d'avenir ...

Giovinco, la "fourmi atomique"

Petit par la taille (1,64 m pour 59 kilos) mais déjà immense par le talent, Sebastian Giovinco est à 22 ans la nouvelle perle du football italien. Un avenir radieux lui est même promis.

Présenté comme le successeur d'Alessandro Del Piero, il est en phase d'apprentissage dans les rangs de la Juventus Turin. S'il ferait office de titulaire indiscutable dans n'importe quelle équipe, la richesse de l'effectif de la Vieille Dame fait qu'il doit encore attendre son heure. FIFA.com vous emmène à la découverte d'un futur grand de la Serie A.

Né à Turin d'une mère calabraise et d'un père sicilien, Sebastian a fait toutes ses classes dans les équipes de jeunes de la Juve. Sa constante progression lui a valu d'intégrer dès 2003 la filière des équipes nationales de jeunes.

Un bagage technique hors norme
Avec ses allures de gamin au milieu des athlétiques défenseurs en Serie A, il ne paie pas de mine de prime abord. Mais dès qu'il touche le ballon, il se transforme. La balle lui colle aux pieds et il déséquilibre ses adversaires grâce à un centre de gravité très bas et à un énorme bagage technique. En le regardant jouer, tous les gestes, même les plus compliqués, deviennent faciles à exécuter.

Par ailleurs, Giovinco possède une exceptionnelle vision du jeu et ses coups francs semblent être la copie conforme de ceux de son idole et coéquipier, Del Piero. Très apprécié par les supporters de la Juventus, il a déjà été rebaptisé la fourmi atomique en raison de sa petite taille et de son explosivité.

Pour célébrer ses buts, Giovinco met son pouce sur la tête, le petit doigt tourné vers le ciel. "Je ne suis pas très grand et j'ai souvent entendu dire qu'en raison de ma petite taille je n'arriverais jamais à atteindre le haut niveau", explique-t-il à FIFA.com. "Donc, chaque fois que je marque un joli but, je fais ce geste qui signifie que je suis en train de grandir".

Jouer le plus souvent
Ayant désormais pratiquement tout gagné avec les équipes de jeunes, le nouveau prince du football italien frappe de plus en plus fort à la porte de l'équipe première où Didier Deschamps l'a fait débuter le 12 mai 2007 contre Bologne, en Serie B. Pour se forger, il est prêté à Empoli la saison suivante où il devient rapidement le patron sur le terrain et dispute 37 matches de Serie A. De retour à Turin, le problème se pose d'une manière encore plus aiguë : à quel poste faire jouer le jeune prodige ?

En effet, Claudio Ranieri semble avoir trouvé le bon équilibre avec la seconde jeunesse de Del Piero, le brésilien Amauri qui marque but sur but et le retour de David Trezeguet.

"Alessandro Del Piero et moi pouvons évoluer ensemble. Nous parlons la même langue du foot tous les deux"
Sebastian Giovinco, la nouvelle perle de la Juventus

"Je promets que désormais Sebastian jouera plus souvent. Il l'a mérité", vient cependant de préciser Ranieri en redoutant que son petit meneur n'écoute le chant des sirènes d'autres puissants clubs qui ont manifesté leur intérêt. Mais à quel poste, s'interroge-t-on en Italie ? Giovinco peut en effet évoluer sur le flanc droit ou gauche et même comme attaquant. Mais il est certain que c'est dans une position de meneur axial que son agilité et sa vision pèsent le plus sur le jeu.

"Evoluer sur les ailes n'est pas ma place idéale car il faut aussi défendre. Mais l'important est d'être prêt quand Ranieri me convoque, même si ce n'est pas facile de jouer un match de temps en temps en sachant qu'il faudra attendre plusieurs rencontres avant de rejouer", explique Giovinco. "Je veux quand même souligner qu'Alessandro (Del Piero) et moi pouvons évoluer ensemble. Nous parlons la même langue du foot tous les deux", insiste-t-il cependant avec force au cours d'une interview accordée en exclusivité à FIFA.com où il affirme préférer "se concentrer sur le présent" plutôt que d'essayer de savoir s'il est "l'héritier désigné de Del Piero".

A 22 ans, Giovinco a envie de jouer le plus souvent possible, de préférence à la Juventus. Mais la fourmi atomique sait que le temps passe vite et que la Coupe du Monde de la FIFA en Afrique du Sud a lieu dans à peine plus d'un an.

"Je ne sais pas encore si je serai du voyage. Je ne suis pas trop confiant à ce sujet. Je crois que Monsieur Lippi a déjà en tête une liste de joueurs qui feront partie des 23 sélectionnés. Ce seront notamment ceux qui joueront la Coupe des Confédérations en juin prochain". Il reste donc peu de matches de championnat et de Ligue des champions de l'UEFA à Giovinco pour se faire une place au soleil.

Lui il peut largement faire parti des 23 Italiens qui iront en Afrique du Sud en 2010...

Ca c'est clair, un vrai prodige

Cki est dommage, c'est qu'on est que deux à réagir dans ce sujet et à mettre des articles !

Ouè c'est vrai jai remarqué aussi.
Ptet que les autres lisent (ou pas) les sujet et sans plus, ils ne rajoutent pas de commentaire...

Malgré la faible tentative l’an dernier d’intégrer des jeunes du centre de formation dans son équipe première, la détection et l’éclosion des jeunes talents d’Ile-de-France a toujours été une des plus grosses faiblesses de la politique du Paris SG.

Vivier quasi intarissable de jeunes talents, Paris et sa banlieue n’a paradoxalement que trop rarement mis à disposition ses joyaux pour le club fanion de la capitale. Souvent, l’Ile-de-France aura été (et est toujours) le terrain de chasse des recruteurs d’autres clubs français formateurs, voulant logiquement profiter du trésor ignorer par le Paris Saint-Germain.
En effet, on peut légitimement se demander comment - et surtout pourquoi - le PSG, trônant sur un bassin de plus de 10 millions d’âme, n’a pas plus souvent puiser dans cette magnifique ressource. Car en regardant de plus près, si l’on regarde l’équipe-type des meilleurs joueurs franciliens mais jamais passés par le PSG, on découvre une équipe qui tient bien la route:

Y.Pelé(Brou-sur-Chantereine - 77)
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Evra(Les Ulis - 91)
Gallas(Paris)
Zebina(Paris)
L.Diarra(Paris)
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A.Diarra(Villepinte - 93)
Diaby(Aubervilliers - 93)
Ben Arfa(Clamart - 92)
Menez(Longjumeau - 91)
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Henry(Les Ulis - 91)
Briand(Sarcelles - 95)

Et je n’irai pas jusqu’a énumérer tous les grands joueurs du passé dans le même cas de figure pour ne pas enfoncer le couteau dans la plaie. La qualité de cette équipe virtuelle actuelle suffit à planter le décor. Tous ces jours nés ou ayant grandis en Ile-de-France sont de niveau international, sans jamais avoir porté les couleurs rouge et bleue.

Préférence aux clubs formateurs plutôt que Paris

Plutôt que le PSG, ce sont les clubs à tradition formatrice, aux réseaux bien établis, même sur les terres parisiennes, qui ont attirés les espoirs, qu’ils soient proches voisins: Le Mans pour Pelé, Caen pour Gallas, Le Havre pour Lassana Diarra, Auxerre pour Diaby, Rennes pour Briand; ou un peu plus éloigné: Cannes pour Zébina, Sochaux pour Menez. Le PSG n’ayant pas la réputation de faire confiance au jeune en équipe première (l’influent épisode Anelka n’a pas arrangé cette image) les jeunes se tournent plutôt vers ce genre de clubs qui, par obligation ou par philosophie, leur fait historiquement confiance en équipe pro. Si les petits clubs n’hésitent pas à lancer de nombreux jeunes dans le grand bain, le PSG a lui traditionnellement plus misé (quand il en a eu les moyens) sur une politique de vedettariat (plus ou moins réussie..). Il est certain que l’environnement parisien et l’énorme pression qu’il génère est difficilement supportable pour un jeune mais comment expliquer alors la batterie de joueurs formés au Real, Barcelone, Manchester ou Juventus?

Le PSG est d’autant plus à blâmer que pour la plupart, ces joueurs ont débutés dans leur club de quartier ou de leur environ, donc à porter de main du club basé à Saint-Germain-en-Laye. Il semble étonnant que ses clubs "filleuls" n’oriente pas naturellement leur meilleur élément vers la seule équipe de 1ere division de la capitale (fait unique, Berlin excepté). Pour cela, le PSG se doit d’étendre son propre réseau sur tous les petits clubs franciliens, dont certains sont réputés pour sortir des jeunes prometteurs. C’est par des partenariats du type "aide financière au fonctionnement" contre "option préférentielle sur les meilleurs éléments" avec ces clubs que le PSG doit tisser sa toile pour cesser l’hémorragie et retenir dans ses filets la crème de l’Ile-de-France.

Achat de joueurs confirmés au prix fort au lieu de formation

Au lieu de cela, pour tenter de donner une teinte parisienne à son équipe, le PSG a souvent eu recours à une stratégie à la pertinence plus que douteuse: le retour dans le giron parisien de joueur ayant éclaté ailleurs. Si sportivement, la réussite n’est pas toujours au rendez-vous, financièrement cette option s’avère être un gouffre. L’exemple le plus parlant demeurant bien sûr les différents épisodes du feuilleton Anelka, racheté 215MF (33M€) au Real après l’avoir vendu quelques années plus tôt 5MF (0.8M€) à Arsenal, puis revendu peu après à M.City (20M€). Derniers exemples en date, l’achat 8M€ de Sessegnon, au potentiel pourtant facilement détectable car depuis plusieurs années à porter de main à Créteil. Heureusement, il s’agit cette fois-ci d’une bonne pioche sportive. Mais il n’aura même pas du passer par la case Le Mans et passer directement du Val-de-Marne à Paris, pour un prix du coup bien inférieur.
Même cas de figure dans l’effectif actuel avec les achats de Rothen le Châtenaisien, Z.Camara et Pancrate les Parisiens ou S.Traoré le Cristolien, mais avec ces fois-ci une réussite sportive mitigée.
L’opération rapatriement a aussi été tentée au dernier mercato estivale pour Briand le Sarcellois, mais les 10M€ proposés n’ont pas suffit à l’arracher à Rennes. Echec aussi ses derniers années pour des joueurs comme Wiltord, Saha ou Gouffran.

Sakho, seul survivant du coup de jeune de l’an dernier

Pourtant, l’année dernière semblait se dessiner comme un véritable virage en la matière. Acculés dans ses derniers retranchements, au bord de la rupture, Le Guen sort de sa manche une tripotée de jeune du centre de formation. Quasiment une génération entière, qui semble prématurément appelé à prendre les rênes du club Parisien. Cette génération dorée est emmenée par Mamadou Sakho, produit du 20e arrondissement, qui est même nommé capitaine alors qu’il est encore mineur! Du jamais vu. Hormis le défenseur central, on retrouve alors régulièrement N’Goyi (né à Melun en 1988), Chantôme (Sens proche 77/1987), Sankharé (Sarcelles/1988) au milieu et N’Gog (Gennevilliers/1989), Arnaud (Saint-Germain-en-Laye/1987) en attaque. Ajouté à cela les apparitions de Mabiala (Montfermeil/1987) ou Partouche (Velizy/1990).

Mais un an après le constat est amer. Plus qu’une prise de conscience ou une véritable politique au long terme, il semblerait qu’il s’agissait seulement d’une solution parmi tant d’autres pour créer un électrochoc pour remobiliser les joueurs cadres en vue d’éviter la descente.
Le maintien assuré, que sont devenus tous ces jeunots? Au point mort. Certains sont déjà partis comme N’Gog à Liverpool pour 2M€ (Anelka bis?), d’autres ont été prêtés pour s’aguerrir (Sankharé à Reims, Mulumbu à WBA), les restants disparaissant peu à peu de l’équipe A. Echec total? Pas exactement puisque le plus fort d’entre eux en la personne de Mamadou Sakho s’est véritablement imposé comme titulaire et demeure l’espoir n°1 du PSG des années 2010.

La réussite sportive de cette saison devrait permettre au PSG de travailler plus sereinement pour l’avenir, là ou ses dernières années l’urgence était quotidienne. Surement l’occasion de mettre en place une politique durable visant à ne plus laisser s’échapper les plus beaux fleurons franciliens. Dans la roue du grand espoir Sakho, les purs produits parisiens vont-ils réussir à écrire l’Histoire du club de la capitale? L’avenir nous dira si le Paris SG leur en laisse l’opportunité.

Au dessus un sujet très interessant sur les talents et les futurs prodiges que produise la region parisienne.

Si ca parait trop long à lire, lisez paragraphe par paragraphe...

vous saviez que le rappeur sefyu jouait trés bien au foot avant il jouer notamment avec alou diarra sefyu aurait pu faire une trés bonne carriere dans le foot ans une blessure qui la contraint a mettre un terme au foot il et pister par de grands club comme arsenal...

Ah ouais ?! J'savais pas

kevin76170 a écrit:

vous saviez que le rappeur sefyu jouait trés bien au foot avant il jouer notamment avec alou diarra sefyu aurait pu faire une trés bonne carriere dans le foot ans une blessure qui la contraint a mettre un terme au foot il et pister par de grands club comme arsenal...

T'es serieux ?! T'as entendu ça où ?

ouais c sérieux il l'avait dit dans un plateau télé sur direct 8(TNT) il était invité avec alou diarra et il ont parler de ca domage pour lui!!

Vraiment incroyable, j'ai regardé sur internet et il a été au centre de formation d'Arsenal !! Carrément !

En tout cas, maintenant, il est devenu un très bon rappeur ^^

t'as vu c'était pas des conneries il devait trés trés bien jouer alors!!
ouais un excellent rappeur meme^^

sinon matt pokora était un trés bon joueur de foot aussi

Ouai il était dans les equipes de jeunes de Strasbourg et dans cette region là...
Il est meme fan du PSG^^

nn marseille mdrr son meilleur pote c cissé et il et souvent invite a OMTV et il va trés souvent au valodrome donc je pense pas qu'il soit fan de paris^^

A ok, chépa ou j'ai entendu qu'il soit fan de Paris alors...
Pas grave, jmen fou de M.Pokora...

ouais c **claire**(--> pas de langage SMS SVP) mais bon je te disais juste qu'il était trés bon au foot et il fan de marseille lol l'affaire et réglé

Ouai, et y'a aussi un chanteur du groupe Tragedie (c'est démodé maintenant^^) qui a failli devenir pro au FC Nantes. Mais c'est une grosse blessure qui l'a empecher de continuer...